Le Porridge, l’option anglo-saxonne des premiers jours
Que manger dans les premiers jours après l’accouchement ? Le porridge est un plat emblématique des petits déjeuners anglo-saxons et scandinaves. Il est composé de céréales (graines entières ou concassées, flocons), qui sont ensuite bouillies dans de l’eau ou du lait. Traditionnellement l’avoine est souvent utilisée: c’est une céréale riche en fibres, protéines, fer et magnésium. Mais pour une option sans gluten, vous pouvez choisir le sarrasin ou le quinoa.
C’est une option parfaite pour les premiers jours après la naissance. C’est un plat réconfortant (‘comfort food’ en anglais), crémeux, nourrissant et facile à digérer. Bref, toutes les qualités que l’on recherche pour ces premiers jours post-partum !
Voici la recette de base du porridge à l’avoine qui se mange généralement sucré mais comme le Congee, on peut le décliner à l’infini en fonction de vos goûts : le matin avec des fruits, du beurre d’amande ou de cacahuète, du yaourt, des noix et des graines ou le midi et soir comme un risotto avec des protéines, des légumes et des épices et condiments doux. Vous pouvez alors remplacer l’eau/le lait par du bouillon.
INGREDIENTS – pour 1 gros bol
- 1 petite tasse de flocons d’avoine (environ 50gr)
- 2 petites tasses de liquide – soit lait (de vache ou végétal) soit eau (le lait offre une texture plus onctueuse, l’eau offre une porridge plus léger) ou 1 tasse de chaque !
- 1 petite pincée de sel
- Pour une version sucré, vous pouvez y ajouter du sucre complet, du miel, du yaourt, des fruits frais, de la compote, des noix et graines, de la noix de coco ou du chocolat noir en copeaux, des fruits secs, de la vanille en poudre, de la cannelle, cardamome et autres épices doux. Bref, tout ce qui vous inspire !
Mélanger les céréales et le liquide dans une casserole et faire mijoter sur feu très doux en remuant pendant environ 5 minutes, le temps d’obtenir une texture bien crémeuse. Versez la préparation dans un bol et agrémentez selon vos souhaits.
[Recette inspirée de l’enfance anglophone d’Amélie !]